Dans un célèbre discours du 5 février 1794, il en appelle à la terreur pour sauver la révolution menacée de l'intérieur comme de l'extérieur et lui donne une justification inattendue :
Dès le lendemain de la chute de robespierre, ces mêmes hommes qui l'auront conduit à la guillotine s'empresseront de lui faire porter la.
Le 3 décembre 1792, maximilien robespierre, figure de proue des montagnards, prononce un célèbre discours qui influence fortement la décision finale.
L’une de ces deux factions nous pousse à la faiblesse, l’autre aux excès.
Montre plus en réalité , la divergence de.
Et dans un autre discours, deux jours plus tard, inlassable théoricien, il précise que cette vertu, de nature publique, « n’est autre chose que l’amour de la patrie et de ses lois ».
Gouverner la république (10 mai 1793) dans un contexte de tension extrême entre la montagne et la gironde à la suite de la trahison de dumouriez, maximilien de robespierre, député de l’artois, prononce ce discours à la convention dans lequel il réaffirme ses valeurs révolutionnaires et républicaines :
Rapport sur les principes de morale politique qui doivent guider la convention nationale dans l’administration intérieure de la république, fait au nom du comité de salut public, le 18 pluviôse, l’an 2 e de la république, par maximilien robespierre ;
Imprimé par ordre de la.
Le 5 février 1794, maximilien robespierre prononce un discours à la convention nationale où il justifie la politique de la terreur.
Indulgence pour les royalistes, s'écrient certaines gens ;
Grâce pour les scélérats !
Grâce pour l'innocence, grâce pour les faibles, grâce pour les malheureux.
Robespierre, discours à la constituante.
Discours du 13 mai 1791 de robespierre a la constituante passage étudié :
Depuis « dès le moment où dans un de vos décrets » jusqu’à « ni la nation, ni les colonies, ni l’humanité entière ».
En 1791, année de ce discours, la révolution a brisé la monarchie absolue.
Le 8 thermidor (26 juillet), il prononce un long discours durant lequel il accuse ses adversaires sans les nommer et profère de nombreuses menaces à leur encontre.
Le lendemain, robespierre tente de revenir à l’assemblée mais on l’empêche de parler et un décret d’arrestation est voté.
Il est alors arrêté avec ses partisans, saint.
Blog des communistes d'arras quel est le but où nous tendons?
La jouissance paisible de la liberté et de l’égalité ;
Le règne de cette justice éternelle, dont les lois ont été gravées, non sur le marbre et sur la pierre, mais dans les cœurs de tous les hommes, même dans celui de l’esclave qui les oublie.
Discours du 18 pluviôse an ii (7 février 1794) sur les principes de morale politique qui doivent guider la convention dans l'administration intérieure de la république discours du 18 floréal an ii (7 mai 1794) _ sur les rapports des idées religieuses et morales avec les principes républicains, et sur les fêtes nationales compte 7205 mots.
Discours de robespierre, 5 février 1794.
La terreur pour sauver la république, selon robespierre.
Avocat, robespierre devient député du tiers état aux états généraux,.
1270 mots 6 pages.
Il s’agit du discours que maximilien robespierre a adressé à la convention nationale le 5 février 1794 sur les principes de morale politique qui doivent guider la convention nationale dans l’administration intérieure de la république.
Discours sur la liberté de.
L’histoire est autant le fruit du contexte dans lequel elle se construit que la compilation savante et analytique des faits réellement passés.
Il fallut attendre le livre de robert palmer pour réaliser l’importance du discours de robespierre prononcé le 17 pluviôse an ii (5 février 1794), sur la philosophie du gouvernement révolutionnaire articulé autour des notions de vertu.
Voilà ce qui explique l’inapplication de la constitution de l’an i.
En effet, il s'agit pour robespierre de se justifier sur le plan politique et donc de montrer qu' en s'opposant à des criminels, il agit en homme de bien au service du bonheur du peuple et de la liberté.
Le combat du bien et du mal :
Le discours de robespierre oppose ainsi volontairement et parfois au moyen d.
Dans le discours du 5 février 1794, il théorise le gouvernement révolutionnaire contraint d’utiliser la terreur associée à la vertu pour sauver la révolution et en assurer le succès.