De la taverne où tu ne viendras plus.
Et la chanson que la nuit m'apporte.
Mon c ur déjà ne la reconnaît plus.
C'était le temps des fleurs.
On ignorait la peur.
Les lendemains avait un goût de miel.
Ton bras prenait mon bras.
Ta voix suivait ma voix.
On était jeunes et l'on croyait au ciel.
Pour le gars qui à lancé le topic, le temps des fleurs c'est:
C'était le temps des fleurs.
Ou je niquais ta soeur.
Sur le divan de la salle à manger.
Elle me disait: encore.
Je comprenait plus fort.
J'étais à l'os du cul.
C'était le temps des fleurs.
Ou je niquais ta soeur.
Sur le divan de la salle à manger.
Ca fait lever la queue c'était un wagon de pines qui revenait d'argentine y'en avaient des longues, des fines.
Et ce soir je suis devant la porte.
De la taverne où tu ne viendras plus.
Et la chanson que la nuit m'apporte.
Mon cœur déjà ne la connaît plus.
C'était le temps des fleurs.
On ignorait la peur.
Les lendemains avait un goût de miel.
Ton bras prenait mon bras.
Ta voix suivait ma voix.
C'était le temps des fleurs.
Où j'enculais ta soeur.
Sur le divan de la salle à manger.
Elle me disait plus fort.
Elle me disait encore.
J'étais à l'os du cul.
C'était le temps des cuites.
On ignorait les pschitt.
Nos voix criblées de joie montaient de l'ombre.
Et nous écoutions nos cœurs chanter.
C'était le temps des fleurs.
On ignorait la peur.
Et puis sont venus les jours de brume.
Combien j'ai passé de nuits sans lune.
A chercher la taverne.
C'était le temps des fleurs paroles paillarde.
On était jeunes et l’on croyait au ciel la, la, la.
On était jeunes et l’on croyait au ciel et ce soir je suis devant la porte de la taverne où tu ne viendras plus et la chanson que la nuit m’apporte mon cœur déjà ne la connaît plus c’était le temps des fleurs on ignorait la peur les lendemains avait un goût de miel ton bras.
On était jeunes et l'on croyait au ciel.
Et puis sont venus les jours de brume.
Avec des bruits étranges et des pleurs.
Combien j'ai passé de nuits sans lune.
À chercher la taverne dans mon cœur.
Tout comme au temps des fleurs.
Où l'on vivait sans peur.
Où chaque jour avait un goût de miel.
Ton bras prenait mon bras.
De la taverne où tu ne viendras plus.
Et la chanson que la nuit m'apporte.
Mon cœur déjà ne la connaît plus.
C'était le temps des fleurs.
On ignorait la peur.
Les lendemains avait un goût.
Les fleurs ont depuis des siècles, inspiré les poètes et les chanteurs.
La fleur symbolise la beauté, la vie et la béatitude.
Dalida, l'une des plus belles fleurs du jardin de la chanson française, qui a interprété « le temps des fleurs » depuis 1968, et le tube devient l'un des plus emblématiques de la chanteuse.
« le temps des fleurs » est la version française d'une chanson.
Provided to youtube by idolle temps des fleurs · banda los divinosbanda los divinos℗ agorilareleased on:
Ton bras prenait mon bras.
Ta voix suivait ma voix.
On était jeunes et l'on croyait au ciel.
Et puis sont venus des jours de brume.
Avec des bruits étranges et des pleurs.
Combien j'ai passé de nuits sans lune.
À chercher la taverne dans mon.
Elle me disait chérie.
Tu me fais mal je ne peux le supporter.
C'était le temps des fleurs.
Où j'enculais ta soeur.
Sur le divan de la salle à manger, elle me disait chérie.
Ton trou est trop petit.
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De la taverne où tu ne viendras plus et la chanson que la nuit m'apporte mon cœur déjà ne la connaît plus c'était le temps des fleurs on ignorait la peur les lendemains avaient un goût de miel ton bras prenait mon bras ta voix suivait ma voix on était jeunes et l'on croyait au ciel la, la, la, la la la, la, la, la la la, la, la, la la.
[verse 1] em dans une taverne du vieux londres e7 am où se retrouvaient des étrangers em nos voix criblées de joie montaient de l'ombre f#7 b7 et nous écoutions nos cœurs chanter [chorus] em c'était le temps des fleurs am on ignorait la peur d g les lendemains avaient un goût de miel am ton bras prenait mon bras em ta voix suivait ma voix b7 em on.
C'était le temps des fleurs on ignorait la peur les lendemains avait un goût de miel ton bras prenait mon bras ta voix suivait ma voix on était jeunes et l'on croyait au ciel.