Cependant, la loi pose une exception à la réalisation du délit d’atteinte à l’intimité de la vie privée lorsque les actes sus mentionnés ont été accomplis au vu et au su des intéressés.
La reproduction d’une image sans l’accord de la personne concernée peut entraîner la responsabilité civile ou pénale de la personne ayant diffusé l’image.
L’article 9 du code civil,.
L'adolescent peut déjà avertir la personne qui a diffusé les photos ou vidéos sans autorisation des sanctions pénales qu'elle encourt, et tenter ainsi d'obtenir leur suppression.
En effet, la haute cour considère qu’il y a violation du droit à l’image lorsque les photographies ont été détournées de leur contexte de fixation et reproduites sans autorisation.
Le phénomène consacré par l’expression «revenge porn» en anglais, consiste à mettre en ligne des photos ou vidéos intimes sans le consentement des personnes.
Il existe actuellement une proposition de loi.
Maitre wéry en précise les trois aspects :
Elle aggrave encore les sanctions encourues (de six mois à cinq ans.
Le droit à l’image :
Pas de photo, texte ou vidéo publié (e) sans consentement !
Le droit prévoit que l'image et les informations personnelles d'une personne doivent être protégées car il.
« est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende le fait de publier, par quelque voie que ce soit, le montage réalisé avec les paroles ou l’image d’une personne.
Le fait pour un salarié de révéler ou de tenter de révéler un secret de fabrication est puni d'un emprisonnement de 2 ans et d'une amende de 30 000 euros.
Enfin, à cette obligation.
Le tribunal avait fait droit à cette demande sur le principe, en considérant que “la volonté (du photographe) de faire bénéficier gratuitement une association de sa photo ne le.
Il ne sanctionne que la diffusion d’une photo non consentie.
La personne qui met en ligne, sans autorisation, une photo d’une personne prise avec son.