« la grande guerre fut une machine à broyer les corps et les âmes”, décrit le psychiatre louis crocq, dans son ouvrage les blessés psychiques de la grande guerre.
Ce vétéran se souvient de conditions de vie particulièrement difficiles.
c'était une vie impossible à vivre.
On avait des poux, on ne se lavait pas et l'hiver il y avait de la boue à n'en.
Le combat, le danger, la peur constituent une expérience discontinue dans la vie des combattants des tranchées.
La vie y est faite d’abord et tout simplement d’oisiveté, d’ennui, de longues.
Mises à part les véritables batailles, les tirs d’embuscade et les obus tuaient régulièrement des soldats.
Inlassable combat que celui livré contre la pluie ;
À la moindre averse la tranchée menace de s'effondrer, les parois fondent et forment un magma dans lequel le soldat, doit faire des efforts.
Vivre et mourir dans les tranchées est un essai historique commis par les historiens rémy cazals et andré loez.
Un ouvrage pour combattre quelques idées reçues sur les poilus et les.
Une telle plongée dans l'univers du conflit est rendue possible par les nombreux témoignages que ces hommes ont laissés, carnets, souvenirs et lettres, et qui sortent depuis quelques années.
L’exposition « entre les lignes et les tranchées », au musée des.
Cet ouvrage de synthèse, qui s’appuie sur les témoignages (carnets de route, lettres, souvenirs, récits rédigés, etc. ) de cent cinquante et un français, a pour objectif de faire.
C'était épouvantable, et puis pour les tuer, c'était pas possible :
Grâce à de nombreux témoignages inédits ou récemment publiés, la vie des fantassins des tranchées de la grande guerre.
La vie dans les tranchées est très dure à cause des rats, des maladies comme la tuberculose, le froid et le bruit qui sont omniprésents.
On entend gronder à longueur de temps le bruit.