Bruno podalydès voulait adapter le roman le mystère de la chambre jaune de gaston leroux depuis une dizaine d'années, séduit par une intrigue évoquant la nouvelle double assassinat.
Rédiger ma critique synopsis le jeune reporter joseph rouletabille, accompagné de son ami et photographe sainclair, se lance aux trousses du meurtrier qui a tenté d'assassiner mathilde, la.
Ici c’est le mal français, dans toute se plénitude actuelle :
Un film dégoulinant de pathos, des prises de tête, de la lourdeur, de la lenteur, de la paresse, des facilités, de l’inaction,.
Il parle à son propos d' « un cinéma de pur plaisir et d’élégance enfantine dont on aimerait qu’il ne restât pas un îlot.
Avec le mystère de la chambre jaune, ils pourraient enfin goûter aux délices de la reconnaissance critique et publique.
Enchanteur, divinement joué, mis en scène avec élégance, ni grossier, ni.
Le passage d'un rythme nonchalant et loufoque, à une explication (trop) rythmée et sinueuse, contribue à gâcher tout le plaisir d'un spectateur, qui se délectait des mystères de chacun de.
La critique complète est disponible sur le site ciné live l'humanité par jean roy le film est un honnête divertissement qu'on fréquentera sans déplaisir.
L'obs par pascal mérigeau mais le.
(à propos de le mystère de la chambre jaune) sa note :
“ négligeant un peu trop le mystère éponyme, ce petit film offre néanmoins une jolie atmosphère, écrin à la vivacité jubilatoire de.
“ un nouveau montage et un travail sur la péliculle donnerait un visage frais au film.
” 2 mars 2018 youliseas (à propos de le mystère de la chambre jaune) sa note :
“ action confuse, résolution.
Le mystère de la chambre jaune, un film de | synopsis :
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Cette adaptation de gaston leroux fait la part belle aux comédiens et à l’esprit bande dessinée.
Le rouletabille de bruno podalydès (joué par son frère denis) a des airs de.
Le moins intéressant du diptyque « le mystère de la chambre jaune » et « le parfum de la dame en noir ».
L’intrigue se cale surtout sur le genre du roman à intrigue, sans vraiment égaler le.
Délicieusement rétro, l’intrigue, farfelue, n’est pas toujours très claire à suivre et s’étire sur deux longues heures.
Émaillée d’humour (la scène de l’horloge), la partition est modérément.
Pour cette cinquième adaptation à l’écran du roman de gaston leroux (la dernière remonte à 1965 pour la télévision), bruno polydalès surprend dès la première bobine.
